« Aux grandes causes, de grandes idées ; aux édifices majestueux, un nom à la hauteur de leur noblesse »
Les années passées témoignent que la jeunesse et la culture ont toujours été au cœur de nos préoccupations. Une jeunesse en mouvement, pleine de vie et de beauté, que nous avons accompagnée et rassurée pour qu’elle retrouve sa mémoire, réconcilie avec son histoire, et embrasse son rôle nouveau : guérir les blessures d’une époque sombre qui ne doit jamais revenir.
La culture, dans toutes ses manifestations, est un remède auquel nous croyons profondément. Elle apaise l’âme et élève l’esprit. L’Opéra d’Alger, généreusement offert par nos frères chinois, est le symbole de leur grandeur à la hauteur de la confiance que nous leur avons accordée dans notre projet de modernisation.
Il ne pouvait porter qu’un nom digne des plus grands : Boualem Bessaïh, un homme d’exception, dont le legs brille pour l’éternité.
Combattant de la liberté, homme d’État, intellectuel, amoureux de la littérature, de l’art et de la poésie, il fut une source d’inspiration pour sa génération et les suivantes. Aujourd’hui plus que jamais, il demeure un symbole de fidélité aux engagements. Quiconque entre à l’Opéra d’Alger se souviendra de cet homme patriotique et noble : Boualem Bessaïh.